Quatre filles et un jean remixé (-famille + proche délire )

Bon en fait je voulais faire découvrir ce super bouquin que j'ai PLUS que aimé. Donc j'ai désidé de le refaire mais en changant les personnages que je remplacerai par mwa et mes amies.
( heu ... parconte si c'est une sorte de plagia dite le moi que je finis pas en tole hein ... si c'est le cas je suprimerai le texte ) Donc ceux qui connaisse le livre sa ne sert a rien de lire sauf si vous voulais le relire mais bon sa sera la même chose que dans le VRAI livre C'est un livre de ann Brashares, il y a 4 tomes en tous,tous meilleur les un que les autres. Le 1er tome est sortit en film et j'ai adoré aussi niai. Place à la lecture




Prologue :

Il était une fois un pantalon. Un pantalon tous simple, un jean bien sur, bleu mais pas trop foncé ni trop raide comme ceux qu’on sort juste du placard le jour de la rentrée. Il était d’un bleu délavé, irrégulier, un peu plus clair aux genoux et derrière, avec des petits traits blancs dans le bas.
Il avait déjà bien vécu. Ça se voyait. Acheter un vêtement d’occasion, c’est un peu comme prendre un chien dans un refuge : on sent que quelqu’un d’autre est passé avant. Notre pantalon n’avait rien d’un chiot névrosé abandonné par ses maître, qui aboie à fendre l’âme du matin au soir. Non, notre c’était plutôt un bon chien que ses propriétaire avaient du laisser à regret parce qu’ils emménageaient dans un appartement ou qu’ils partaient dans un pays ou on mange les chiens comme la Corée ( enfin je crois …).
Ce n’était pas un drame qui avait fait entrer ce jean dans notre vie, j’en étais convaincu. Il avait simplement atterri dans cette boutique à la suite d’un tournant dans la vie de son propriétaire, une de ces périodes de transition tout à fait normal, et pourtant tellement pénible. C’est ca la vie de pantalon !
C’était un bon jean, sans prétention. On pouvait se contenter de lui jeter un regard et se dire " Ouais, bon, c’est un jean quoi " , ou bien s’attarder à admirer sa coupe parfaite et son magnifique dégradé bleu. Ce n’était pas le genre de pantalon que veut forcer l’admiration. C’était un bon vieux jean, contant de faire son boulot : C’est a dire couvrir les fesses de celle qui le portait sans en faire un boudin.
Je l’avais trouvé au fin fond de Georgetown, dans un magasin de vêtements d’occasion coincé entre un marchand d’eau ( je sais pas pour vous, mais moi j’en est autant que je veux dans les robinet !) et une boutique de diététique qui s’appelle " Yes " . Chaque fois que l’une de nous mentionner cette boutique dans la conversation ( et nous essayons de le placer de plus de fois possible dans la conversation), nous hurlons " YEEEESSSS " toutes en chœur. Bref, j’étais avec Manon, sa petite sœur, Miri, et leur mère. Miri voulait trouver une robe pour le bal du lycée. Ce n’était pas le genre de fille à se jeter sur le premier chiffon rouge ( décolleté ) venu comme toutes les autres. Elle voulait une tenu original.
Si j’ai acheté ce jean, c’est surtout parce que je sais que la mère de Manon déteste les vêtements d’occasion. Des trucs de pauvres selon elle. Chaque fois que sa fille décrochait un cintre, elle répétait : " C’est sale, Miri. " . Et dans le fond, j’ai honte de l’avouer, mais j’étais assez d’accord avec Mme Corbet. En faite, je préféré les étalages bien propre du centre commercial, mais il fallait absolument que j’achète quelques chose. Notre jean attendait innocemment plié sur une étagère près de la caisse. Je me suis dit qu’il avait dû être lavé. Et puis il ne coûtait que 3 dollars 49 cents. Je ne l’ai même pas essayé, ce qui prouvé que je n’avait pas vraiment l’intention de le porter. Avec les fesses que j’ai je ne peux pas mettre n’importe quoi.
Miri a choisi une petite robe très original, tout à fait le contraire de ce qu’on porte d’habitude au bal du lycée, et Manon a déniché une paire de mocassins avachis. On aurait dit les chaussures de mon grand-oncle. Manon a de grands pieds, elle doit chausser du quarante, quarante et un. C’est la seule partit de son corps qui ne soit pas parfaite. Moi, je l’ai adore ses pied ! Pourtant, là, je n’ai pas pu m’empêcher de faire la grimace. Ce n’est déjà pas terrible d’acheter des vêtement d’occasion, enfin, au moins on peut les laver, mais des chaussure déjà portées…
En rentrant à la maison, j’ai fourré le jean dans le fond de mon placard et je n’y ai plus du tout pensé.
Il est ressortit de l’oublier la veuille des vacances, juste avant que notre groupe se sépare pour l’été. Je descendais en Caroline du Sud rejoindre mon père, Manon et Miri allaient passer deux mois en Grèce, chez leurs grand parents, et Rym partait faire un stage de football à Bahia California ( une ville de la cote mexicaine comme son nom ne l’indique pas ). Alexane restait à la maison. Ce serait la première fois que nous ne passerions pas l’été ensemble. Et ça nous faisait tout drôle …
L’an passé, nous avons tous suivis un stage de maths. Manon nous avait convaincues que cela nous aiderait à avoir de meilleurs résultats. Pour elle, ça avait marché, comme d’habitude. L’année d’avant, nous avions travaillé comme animatrices stagiaire au camp des Grand-Bois, sur la cote du Maryland. Rym donnait des cours foot et de natation, Manon s’occupait des travaux manuel et Alexane s’est retrouvée une fois de plus coincée à la cuisine. Moi, je donnais un coup de main à l’atelier théâtre, enfin, jusqu’à se que je m’énerve après deux monstres de neuf ans et qu’on me transfère dans le bureaux ou je passais mes journée à lécher des enveloppes toutes seule dans mon coin. Ils m’auraient bien jetée dehors direct, mais je crois que nos parents avaient payé pour qu’on travaille là-bas, alors …
Et avant ça nous avions passé l’été à nous enduire d’huile solaire au bord de la piscine de Rockwood en nous répétant que nous étions difformes ( j’avais des seins énorme et Alexane pas du tout). J’avais bronzé , c’est sur mais mes cheveux n’avait pas éclairci d’un poil, toujours aussi noir. Alexane à travaillé sur le chantier de bénévoles, à construire des maisons pour les familles défavorisées. Rym prenait cours de tennis sur cours de tennis. Manon et Miri passaient leurs journées à barboter dans leur piscine. Et moi, je crois que je regardait pas mal la télé, pour être honnête. Enfin, on se retrouvait quand même quelques heures par jour et on ne se quittait pas du week-end.
Il y a eu des années plus marquantes que d’autres, comme celle ou les parents de Manon ont fait construire leur piscine, celle ou Rym a eu la varicelle et nous l’a refilée. Et l’été ou mon père et parti.
Nos vies étaient rythmées par les vacances d’été. Durant l’année, Manon et moi, nous allions à l’école publique du coin tandis que Rym fréquentait un établissement spécial " sport étude " et que Alexane suivait sa scolarité à l’Union, cette drôle de petite école ou les élèves s’asseyent par terre sur des coussins et ou les notes n’existent pas. Du coup, c’était l’été qu’on se retrouvait vraiment. C’était l’été qu’on fêtait nos anniversaire l’une après l’autres et que tous les trucs vraiment importants se produisaient. Sauf quand la mère de Rym est morte. C’était arrivé à Noël.
Toutes les quatre, nous étions liées avant même de venir au monde. Nous sommes toutes nées à la fin de l’été, dans l’intervalle de dix-sept jours : D’abord Manon, fin août, et moi en dernier, à la mi-septembre. Ce n’est pas vraiment une coïncidence … En fait, c’est même ça qui est à l’origine de notre amitié
L’été de notre naissance, nos mères se sont inscrites à un cours d’aérobic pour femmes enceintes ( non, mais vous imaginez le tableau !), dans un club baptisé Gilda. Il faut dire que c’était la grande époque de l’aérobic. La prof les appelait les " filles de septembre " ( Manon est arrivé un peu en avance). Elle devait avoir peur qu’elles explosent en plein milieu du cours car elles étaient enceintes jusqu’aux yeux. Elle allégeait les enchaînement exprès pour elles. Ma mère m’a raconté qu’elle n’arrêtait pas de crier : " Les filles de septembre, vous ne faite le mouvement que cinq fois, attention ! Attention ! " Il se trouve qu’elle s’appelait Avril et les filles de septembre la détestaient cordialement.
C’est comme ça qu’elles ont commencé à se voir en dehors des cours : pour ce plaindre qu’elles avaient les pied enflés, qu’elles étaient énormes et qu’elles ne supportaient pas Avril. Après notre naissance, un vrai miracle : quatre filles (sans compter le frère jumeau de Rym), elles ont continué à se voir pour se soutenir mutuellement. Elles nous laissaient grignoter dans un coin sur une couverture pendant qu’elles se plaignaient qu’elles dormaient mal et qu’elles étaient toujours aussi énorme. Le groupe s’est un peu dispersé par la suite, mais l’été de nos un an, et l’année d’après et l’année suivante encore, elles ont continué à se retrouver à la piscine de Rockwood. Pendant ce temps, nous, on faisait pipi dans le petit bain et on se piquait nos jouets.
Après leur amitié s’est effilochée, je ne sais pas trop pourquoi. Leur vies sont devenus trop compliquées j’imagine. Deux de nos mères ont recommencé à travailler. Les parents de Alexane ont emménagé dans cette ferme, là-haut, au col de Rockville. Finalement nos mères n’avaient peut –être pas grand chose en commun à part d’être tombé enceinte en même temps. Quand on y repense, c’était franchement un drôle de mélange : La mère de Alexane, la jeune rebelle ; Celle de Manon , la Grecque pleine d’ambition qui voulait réussir en reprenant les études ; Celle de Rym, fraîchement débarqué d’Alabama ; Et la mienne, la Portoricaine dont le couple battait de l’aide. Mais, à l’époque, elles ont vraiment été amies. J’en est encore quelques souvenirs.
Maintenant, on dirait que pour elles, l’amitié c’est un truc en option, qui arrive tout en bas de leur liste de priorités, après le mari, les enfants, le travail, la maison, l’argent, quelque part entre les barbecues et la musique. Pour nous, c’est complètement différent. Ma mère n’arrête pas de me répéter : " Attends, tu verras quand tu auras un copains et que tu feras des études. Tu verras quand tu entreras dans la vrai vie. " Mais elle a tord. On ne laissera pas la vie nous séparer.
En fait, tout ce qui a fini par rester entre elles, c’était nous, leur filles, elles se sont retrouvées dans la situation de parents divorcés qui n’ont plus grand-chose en commun à part les enfants et le passé. Elles ne sont pas très à l’aise quand elles se voient ( surtout après ce qui est arrivé à la mère de Rym) Comme si elles avaient peur de raviver de veuille déception et peut-être même certains secrets, elles préfèrent en rester à la relation superficielles.
Les filles de septembre, c’est nous maintenant. Les vraies. Nous sommes tout les unes pour les autres. Mais nous n’avons pas besoin de le dire, c’est comme ça, c’est tout. Nous sommes tellement proches que nous avons parfois l’impression de ne former qu’une seule personne. Pour caricaturer, il y a Rym la sportive, Manon la beauté, Alexane la rebelle et moi, Pascaline la … la quoi ? Le mauvais caractère. Mais aussi celle qui s’implique le plus, celle pour qui l’amitié compte plus que tout. Vous voulez savoir notre secret ? C’est simple. On s’aime. On tient les unes aux autres. Et c’est rare, vous savez.
Ma mère dit que ça ne durera pas, mais moi, j’y crois. C’est un signe, ce jean. IL représente la promesse que nous sommes faite :quoi qu’il arrive, nous resterons amies. Mais nous nous sommes aussi lancé un défi. Ça ne suffit pas de rester terrées dans nos petites maisons climatisées de Bethesda, au fin fond du Maryland. Nous nous sommes promis qu’un jour nous sortirons de là pour conquérir le monde.
Je pourrais vous raconter que j’ai adoré ce jean dès le premier coup d’œil et que j’ai tout de suite su apprécier sa beauté etc.… mais je préfère être honnête et vous avouer que j’au failli le jeter à la poubelle. Je vais remonter un peu dans le temps pour vous expliquer comment l’époque du jean magique a commencé…

Lexiiieeeuh j'ai trouvé un moyen de pressionn Si jamais tu minerveuh et ben je te dénonce aux flics et je viendrais t'apporter des oranges en prison

Sinon j'adore ta fic quand même

(Et pis au fait je pensais pas que t'allais me prendre au mot pour "-famille+proche" mdr)

Bisous

PS: Lenaaa powaaaa !

aaaaaaaaaaaaaa !!!! Fallait pas que je le mets -famille + proche ????!!!! ba ... OUPPS
Maaaiiis tu m'as dit que c'était pas du plagia !! je veux pas aller en prison ....

Ben techniquement c'est du plagia

Comme Avril Lavigne avec Girlfriends qu'on lui a reproché de plagier le refrain

sauf que moi j'ai dis que c'était pas de moi l'histoire et j'ai même sité l'auteur ... Mais comme tu le dis il faut vivre dangeresemnt ( je vais pas finir en prison hein ? )

Meuh non. t'as pas franchement beaucoup que l'auteur aillent ici. Où même des gens qui pourraient le dire à l'auteur

Bah on c'est jamais Mais de toute facon je l'ai mis dans le titre : - Famille + proche Mdr c'est un code inventé par April pour dire : interdit à la famille et au proche de l'autre ( ingénieux hein ? )

Il est tout beau tout joli mon code

Comme ça en plus Lexie t'es sûre de pas aller en prison grâce à moi

(au fait c'est vrai que t'as 99 ans? )

Hihihihihi

*rire diabolique*

( Avec tout sa moi j'ai pas encore lu Allez je commence now ! J'éditerais pour dire ce que j'en pense, sauf si je me suis endormie entre temps )

Tain Rym elle s'amuse à tout changer dans nos profils elle me fait peur Avec ton rire diabolique en plus...

Nan toi je te changerais jamais rien

Edit : Sauf peut-être ton titre... Jolie Blonde...

Ah je t'aimeuh

Hihi

Bon Lexie c'est quand que tu veux que tu postes la suite

Maaaaaaaiiiiiissssss !!! Le chapitre 1 il rentre pas dedan

Raaah ben tu fous en double poste banane! Tu partages ton chapitre en 2 quoi!

Je demande à ce qu'on m'enlève ce titre de "boulet d'or" pour le redistribuer à Lexie !

On peut le mettre à vous deux

• Tu as presque l’air… Petite comme ça, Rym. Ou est passée notre Amazone ?
  
• Eh bien les compliment fusent aujourd’hui ! remarqua Manon en riant.
  

Rym était grande, carré, avec de longues jambes et de grande mains. On aurait pu croire qu’elle était un peu costaud, mais elle avait la taille et les hanches étonnamment fines.

• Elle a raison, affirma Pascaline. Ce jean te va mieux que le tien.
  

Rym se trémoussa devant le miroir.

• C’est vrai qu’il est pas mal. Waouh. Je crois même qu’il me pâlît bien.
  
• Tu as vraiment de jolie petites fesse, décréta Pascaline.
  

Alexane se mit à rire.

• Quel compliment de la part de la reines des popotins !
  

Elle avait une lueur malicieuse dans les yeux.

• Hé, vous savez quoi ? J’ai un idée pour savoir si ce jean est vraiment magique …
  
• Laquelle ? s’inquiéta Pascaline
  
• Tu vas l’essayer. Je sais qu’il est a toi mais, d’un point de vue strictement scientifique, il est impossible qu’il t’aille.
  

Pascaline se mordit l’intérieure de la joue.

• Tu es entrain d’insulter mon arrière-train ou je me trompe ?
  
• Oh, Callie. Tu sais que je te l’envie. Mais, à mon avis, ce jean ne peut pas t’aller, c’est tout.
  

Rym et Manon hochèrent la tête.
Tout à coup, Pascaline eut une vision d’horreur : et si ce jean qui allait si miraculeusement bien à toutes ses amies ne passait pas ses cuisses ? Elle n’était pas grosse du tout mais elle avait hésité du postérieur généreux du coté portoricain de la famille. Il était plutôt bien dessiné, et la plupart du temps elle en était fière mais, au milieu de ses trois amies aux derrières bien plus modestes, elle n’avait pas envie de passer pour une grosse dondon.

• Nan, j’ai pas envie, répondit-elle en se levant
  

Elle cherchait désespérément un moyen de changer de sujet mais trois paires d’yeux restaient fixées sur le jean.

• Si, insista Rym, c’est ton tour.
  
• Allez Pascaline ! Supplia Manon
  

Ses amies avaient tellement l’air d’y tenir qu’elle ne se sentit pas le courage de lutter.

• D’accord. Mais je sais qu’il ne va pas m’aller. C’est sur.
  
• C’est ton jean comme même, Pascaline ! protesta Rym
  
• Très juste Auguste ! Mais je ne l’ai jamais essayé.
  

Elle retira son pantalon trompette noir et enfila le jean. Il ne resta pas bloqué au niveau de ses cuisses. Il passa ses hanches sans problème. Elle le ferma.

• Alors ?
  

Elle n’osait pas se regarder dans la glace. Personne ne répondit.

• Quoi ? fit elle paniquée. Quoi ? c’est si terrible que ça ?
  

Courageusement elle se tourna vers Alexane.

• Q’est ce qui a ?
  
• Je … C’est juste que …
  
• Oh, bon sang, fit simplement Manon
  

Pascaline se détourna en se mordant les lèvres.

• Bon je vais le retirer et on en reparle plus, d’accord ?
  

Rym retrouva la parole en premier.

• Arrête Callie. Ce n’est pas ça du tout ! Regarde-toi ! Tu es superbe ! Une déesse ! Un top model !
  

Pascaline mis sa main sur sa hanche et fit la grimace.

• Ca, j’en doute !
  
• On ne plaisante pas. Regarde-toi ! Ordonna Manon, il est vraiment magique ce jean !
  

Pascaline s’examina dans le miroir. De loin, d’abord. Puis de plus près. Le devant, puis le derrière.
Le disque qu’elles étaient entrain d’écouter s’était arrêté, mais personne ne parut le remarquer. Le téléphone sonnait dans le loin, mais personne ne se leva pour aller décrocher. La rue était anormalement silencieuse.
Pascaline finit par relâcher sa respiration.

• Ouais, il est magique.
  

C’est Rym qui avait eu l’idée. Une virée chez Gilda s’imposait après la découverte de ce jean magique, la veille du grand départ. Alexane se chargeait des provision et du Caméscope. Pascaline devait fournir les affreux tubes des années 80. Manon s’occupait de l’ambiance. Rym apportait les épingles à cheveux et le jean. Elles avaient réglé le problème des parents avec leur méthode habituelle : Pascaline raconta à sa mère qu’elle aillait chez Manon, Manon dit à sa mère qu’elle allait chez Rym et Rym demanda à son frère de faire savoir à son père qu’elle était chez Pascaline. Rym passait tellement de temps chez ses amies qu’il avait peu de chances que Adam transmette le message ou pour que son père pose la moindre question, mais c’était la tradition. Elles se retrouvèrent à l’entrée du club de gym, sur Wisconsin Avenue, à dix heure moins le quart. Tout était étaient et fermé, bien sûr. C’est là que les épingles à cheveux entraient en scène. Les filles retinrent leur respiration tandis que Rym forçait la serrure d’une main experte. Elles avaient fait ça au moins une fois par an durant les trois dernières années, mais c’était aussi existant d’entrer par effraction.. Par chance, le club ne s’était pas amélioré en matière de sécurité. De toute façon, qu’est ce qu’uk y avait à voler ? Des matelas bleus qui empestaient la sueur ? une collection d’haltères rouillés ?
La serrure cliqueta, la poignée de la porte tourna et elles s’engouffrèrent comme des furies dans l’escalier qui menait au deuxième étage. Manon installa la couverture et les bougies. Alexane les provisions, de la pâtes a cookies crue qui sortait du frigo, des biscuits fourrés à la fraise, des trucs à apéritif au fromage, des crocodiles et du jus de fruit. Pascaline mis la musique : pour commencer, une vieille chanson atroce de Paula Abdul. Rym se mit aussitôt à sauter comme une puce devant le mur couvert de miroir.

• Ca devait être le coin de ta mère Mani, dit elle en s’acharnant sur une lame de parquet branlante
  
• Très drôle !
  

Elles connaissaient toutes la fameuse photo ou on voyait leurs mère en tenue d’aérobic, très années 8, avec leurs gros ventres en avant. La mère de Manon était de loin la plus énorme. A la naissance, Manon pesait plus que Rym et son frère réunis !

• Prêtes ?
  

Pascaline baissa la musique et étal cérémonieusement le jean sur la couverture tendit que Manon continuait d’allumer des bougies.

• Allez, tu viens Rym ?
  

Elle était encore en train de faire la folle devant la glace. Quand elle daigna interrompre sa séance d’aérobic, elles s’assirent autour de la couverture et Pascaline prit la parole :

• A la veille de la dispersion temporaire de notre groupe ( elle marqua une pause pour que chacune puisse admirer l’expression qu’elle venait d’employer), nous avons été témoin d’un phénomène surnaturel …
  

Elle sentit un fourmillement d’excitation parcourir la plante de ses pieds.

• La magie peut se matérialiser de différente façons. Ce soir, elle est venue à nous sous forme d’un jean. Je propose donc l’assemblée ici présente que ce jean soit notre propriété commune, qu’il nous suive là ou nous irons, et qu’il soit notre lien durant notre séparation.
  
• Nous allons maintenant prononcer le serment du jean magique, décréta Rym en prenant les mains de Alexane et de Manon.
  

C’était toujours Rym et Pascaline qui mettaient en scène ce genre de cérémonie. Elles adoraient les grandes démonstrations d’amitié, alors que Alexane et Manon étaient toutes gênées, comme s’il y avaient une équipe de tournage dans un coin de la pièce.
Une fois qu’elles eurent formé un cercle, Rym déclara :

• A compter de ce soir, nous sommes unies par ce jean magique. Partout ou nous irons, il nous accompagnera et nous rappellera la force de notre amitié.
  

La flemme des bougies vacilla, éclairant le plafond d’une lueur étrange.
Alexane avait l’air de lutter, contre le rire ou les larmes, impossible de savoir. Manon, au contraire, était très solennelle.

• Nous devrions rédiger un règlement, suggéra-t-elle, pour décider ce qu’on doit faire du jean, qui l’aura en premier etc.
  

Sa Proposition fut adoptée à l’unanimité, et Rym fila voler un bloc et un stylo à l’accueil du club de gym. Elles grignotèrent leurs provisions puis, pour la postérité, Alexane filma la rédaction du règlement du " pacte " comme l’appelait Pascaline.

• J’ai l’impression de vivre un moment historique, remarqua-t-elle sentencieusement.
  

Manon fut chargée de prendre des notes parce que c’était elle qui avait la plus belle écritures. IL fallut un moment pour s’entendre. Manon et Pascaline insistaient surtout sur le coté " amitié " : il faudrait rester en contact tout l’été et s’assurer que le jean passe bien de l’une à l’autre. Alexane voulait énumérer ce qu’on pouvait faire ou ne pas faire lorsqu’on le portait, comme mettre les doigts dans le nez, etc. Rym eut une grande idée : une fois qu’elles seraient à nouveaux réunies, elles inscriraient leurs souvenirs d’été sur le jean. Lorsqu’elle tombèrent enfin d’accord, Manon brandit une liste des dix règles hétéroclites, sérieuses ou carrément farfelues. Pascaline savait qu’elles s’y tiendraient. Ensuite, il fallait savoir combien de temps chaque fille pourrait garder le jean avant de le passer à la suivante. Elles décidèrent que chacune le renverrait quand elle le jugerait bon, mais que, pour le bon fonctionnement du projet, il ne faudrait pas le garder plus d’une semaine, à moins d’en avoir réellement besoin. Ce qui signifiait qu’elles devraient en principe l’avoir deux fois entre les mains d’ici la fin de l’été .

• C’est Manon qui devrait le prendre en premier, suggéra Rym en arrachant la tête d’un crocodile d’un coup de dents. Comme ça, il commencera son voyage en Grèce, je trouve ça chouette.
  
• Je peux être le deuze ? supplia Alexane. Ça m’empêchera peut-être de déprimer complètement.
  

Manon hocha la tête d’un air compréhensif. Puis ce serait au tour de Pascaline et enfin, Rym. Ensuite, pour compliquer un peu les choses, il repartirait en sens inverse : Rym l’enverrait à Pascaline, qui le passerait à Alexane, et il reviendra à Manon.
Alors qu’elles discutèrent, minuit sonna. Leur dernière journée ensemble s’achevait, laissant place à leur première jour séparées. Pascaline vit le visage de ses amies qu’elles partageaient son émotion. Ce jean allait les accompagner tout au long de l’été, un été plein de promesses. Ce serait la première fois qu’elle passerait des vacances entière avec son père depuis qu’il était parti. Elle s’imaginaient déjà avec lui, dans ce jean, en train de faire le clown.
Solennellement, Manon posa le pacte sur le jean. Rym réclame une minute de silence.

• En l’honneur du jean magique, dit elle
  
• Et de notre amitié, ajouta Manon
  

Pascaline sentit un frisson la parcourir

• Et de cet instant. De cet été. Du reste de nos vies.
  
• Q’on soit ensemble ou séparées, conclut Alexane
  

Pacte du jean magique

Nous établissons par le présent acte les règles régissant l’utilisation du jean magique :

1. Il est interdit de le laver
   
2. Il est interdit de le retrousser dans le bas. Ça fait ringard et ça fera toujours ringard
   
3. Il est interdit de prononcer le mot G-R-O-S-S-E lorsqu’on porte le jean. Il est même interdit de se dire qu’on est grosse quand on l’a sur soi
   
4. Il est interdit de laisser un garçon retirer le jean ( mais il est cependant possible de l’ôter soi-même en présence dudit garçon)
   
5. Il est formellement interdit de se décrotter le nez lorsqu’on porte le jean. Il est toutefois toléré de se gratter discrètement la narine.
   
6. A la rentrer, il faudra respecter la procédure suivante pour immortaliser l’époque du jean magique : sur la jambe gauche du jean, vous décrirez l’endroit le plus chouette ou vous êtes allée avec. Sur la jambe droite vous raconterez le truc le plus important qui vous est arrivé alors que vous portiez
   
7. Vous devrez écrire aux autres durant l’été, même si vous vous amusez comme une folles sans elles.
   
8. Vous devez leur passer le jean suivant le protocole établie. Toute entorse à ce règlement sera sévèrement sanctionnée à la rentrer ( par une fessée déculottée !)
   
9. Il est interdit de porter le jean en rentrant son T-shirt à l’intérieur (cf règle n°2)
   
10. Rappelez-vous que ce jean symbolise notre amitié. Prenez –en soin. Prenez soin de vous.
    

Voila le chapitre 1

Tout les vêtements me vont
Bon ba je connais pas le livre donc là je découvre et j'aime bien ! ( enfin j'ai commencé le film, mais ça a bugé, mauvais signe )

aaaaaaa le voilà.
Comme je t'ai déjà dit : il est géniale mais pas laver le jean c'est dégeu

Ouais c'est clair moi j'adore! J'ai pas lu le livre mais quand j'ai vu que tu postais cette fic j'ai regardé le film et j'ai trop aimé. Et du coup si je comprends bien:

_ Tallie = Alexane

_ Carmen = Callie

_ Bridget = Rym

_ Lena = Manon

C'est ça ou...?

Allez vite la suite! Et bonne chance parce qu'à mon avis tu dois t'amuser à tout recopier donc merci! ^^

Aucune idée. Tout ce que je sais c'est que je suis la bombe blonde au tendance garcitisque, le meilleur perso quoi

MDR !! Oui c'est sa Adèle sauf que mwa c'est Tibby
T'inquiet c'est marant à recopier car comme ça fait longtemps que je l'ai lu sa me permais de mis remettre